Bons Plans
 
Ce qu'il faut savoir...

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Transport

Vendre l'energie que vous produisez Il suffit de demander à EDF d'être raccorder au réseaux (l'installation n'est pas gratuite, mais peut rapporter beaucoup...) et ensuite, EDF est dans l'obligation de racheter toute l'énergie que vous produisez "en trop" à 55 centimes le kilowatt pendant 5 ans puis a un tarif dégréssif les années suivantes.

Comparatif entre Ampoules
économiques & à incandescence
Encore actuellement plus cher à l'achat, les ampoules économiques sont très vite amorties grâce à leur faible consommation d'énergie (5 fois inférieur au ampoules classique, à éclairage équivalent) et leurs longévité (plus de 10 ans en général). Elles sont en vente dans tous les magasin de bricolage et grandes surface.

Cogénération Plus d'info ici...

Logement
Actuellement, nous sommes en mesure de construire des habitations autosuffisante en énergie :
- Isolation : Une habitation bien isolé (murs, fenêtres, portes) est une habitation qui permet des économies d'énergie non négligeables.
 
- Production d'énergie : De nombreuses solutions énergétique sont disponible aux particulier (panneaux solaire, éolienne...). Apparement cher à l'achat, ces solution repoussent beaucoup de personnes, mais sur les moyen et long termes, l'économie est étonnante : Il faut savoir qu'un panneau solaire à une durée de vie supérieur à 50 ans et qu'une éolienne est achetée pour toute une vie ; Il faut donc comparer le prix de ces instalations avec votre facture EDF sur votre vie entière !
 
- La récupération des eaux de pluies par des goutières conduisant dans une cuve en sous-sol de l'habitation peut permettre ensuite :
  De rediriger ces eaux vers les toilettes,
  D'arroser gratuitement son jardin,
  De laver gratuitement sa voiture...
L'installation nécessite uniquement un toit, une cuve, des gouttières dirigées vers celle-ci, et une pompe pour rediriger l'eau vers l'endroit voulu.
 
- L’architecture de pisé se présente comme idéale pour abriter une humanité enfin soucieuse de préserver son avenir lointain. Elle conduirait à une importante économie d’énergie (pas de cuisson de la terre, très faible consommation de ciment ou de chaux, diminution des transports). Les pollutions qui découlent de la production seraient réduites d’autant, surtout celles qui sont issues des cimenteries. Enfin, si le béton de terre est écologiquement «propre», c’est parce que le temps peut le détruire autant de fois qu’on le souhaite. Ne laisser ni déchets ni traces indélébiles, peut-être sera-ce une ambition nouvelle pour l’architecture.

La propulsion électrique :

La propulsion électrique n’est pas nouvelle. Son grand intérêt est l’absence totale de rejets nuisibles par le véhicule. Toutefois, il faut prendre en compte les émissions générées par les centrales de production d’électricité. Celles-ci sont des sources d’émissions fixes, donc plus faciles à traiter, qui, dans le cas des installations thermiques, dispersent leurs éventuels polluants résiduels à plus de 100  mètres du sol, hors des centres urbains. Le véhicule électrique a pour vocation de résoudre radicalement le problème des émissions dans les centres urbains: l’objectif est donc bien atteint. En tenant compte de toutes les pertes au cours de la production, de la transformation et du transport de l’énergie, les émissions de CO2 des véhicules électriques sont: nulles s’il s’agit d’électricité d’origine nucléaire, à mi-chemin de celles des véhicules Diesel et à essence si la centrale est alimentée au fuel et doubles de celles des véhicules Diesel si la centrale est alimentée au charbon. Le problème essentiel du véhicule électrique reste sa faible autonomie, qui dépend naturellement du potentiel de la batterie. Une voiture électrique pesant au total 1 000  kilogrammes, dont le quart environ représente le poids de la batterie, consomme environ 150  wattheures (Wh) par kilomètre. On ne peut raisonnablement pas la charger de plus de 250 kilogrammes de batterie. La capacité d’une batterie s’exprime en wattheures par kilogramme. Du fait de leur faible capacité, les batteries au plomb ont été abandonnées au profit des batteries au nickel-cadmium dont la capacité spécifique (55  Wh/kg) porte l’autonomie à environ 90  kilomètres. Des études ont montré que, en France, les parcours journaliers urbains dépassent rarement 40  kilomètres. Pour la Californie, cette autonomie est effectivement insuffisante compte tenu de l’étendue des agglomérations. La technologie nickel-cadmium sera bientôt remplacée par celle dite métal-hydrure, dont la capacité spécifique est de 70 Wh/kg, donnant une autonomie de 115  kilomètres. Enfin, les recherches sont très actives sur une technologie utilisant le lithium, dont la capacité serait de 120 Wh/kg, ce qui permettrait de rouler pendant 200  kilomètres sans recharger la batterie. La voiture électrique peut donc, sous cet aspect, constituer une solution viable dans toutes les agglomérations. Le moteur proprement dit ne pose comme problème qu’une adaptation aux contraintes de l’automobile moderne, c’est-à-dire un poids et un encombrement réduits, une fabrication en grande série la moins coûteuse possible, une fiabilité et un agrément de conduite réalisables grâce à l’électronique moderne. Ce type de véhicule, aujourd’hui produit à quelques unités par jour, est d’un coût trop élevé. La percée de la voiture électrique n’interviendra donc vraiment que si les incitations financières sont plus fortes qu’aujourd’hui, ou si des dispositions réglementaires interdisent l’accès de certaines zones aux autres véhicules.

La pile à combustible :

Les recherches qui ont repris depuis quatre ou cinq ans laissent penser qu’une pile à combustible adaptée au transport routier n’est plus une utopie. C’est le mode de production d’électricité embarqué le plus prometteur, surtout s’il est alimenté par de l’hydrogène. En combinant l’hydrogène avec l’oxygène de l’air, la pile à combustible produit de l’électricité et ne rejette que de la vapeur d’eau. Utilisées aujourd’hui dans le domaine spatial, les piles à combustible nécessitent encore de gros progrès en efficacité, en compacité et en coût. Un véhicule électrique alimenté par une pile à combustible à hydrogène constituerait l’ultime solution de remplacement du mode de propulsion de nos véhicules actuels pour résoudre radicalement le problème de la qualité de l’air. Toutes les solutions envisagées pour réduire efficacement les pollutions demeurent plus coûteuses que le système de propulsion actuel. Il faudra donc de très fortes incitations financières ou des réglementations très contraignantes pour qu’elles attirent une clientèle qui ne peut plus se passer de l’automobile.


Voitures :
Electriques
Hybrides
GPL
PàC
Bus :
Electriques
Hybrides
GPL & GNV
PàC